Jisei Budo Kai

 

Logo de l’association (créé par Varin Cédric)

Il va y avoir 3 ans, j’ai créé l’ASBL Jisei Budo Kai. Un rêve devenu réalité !

Pourquoi ?
Depuis mon enfance, j’ai toujours voulu devenir enseignant d’arts martiaux professionnel et je n’ai jamais eu d’autre ambition que celle-là. J’ai donc mis en place mon association afin de pouvoir transmettre mon savoir et ma passion pour les arts martiaux.
Je pense que peu de gens prennent au sérieux l’enseignement des arts martiaux comme ils le font pour l’enseignement d’arts tels que la musique, la peinture… Ils considèrent souvent cela comme un simple passe-temps. Il faut pourtant se rendre compte qu’il faut un engagement profond et des personnes compétentes pour transmettre le goût d’un art et donner vie à la discipline afin de donner l’envie aux gens de continuer à progresser.

Mais que veut dire Jisei Budo Kai ?
Littéralement, nous pourrions traduire par « l’association où on apprend par soi-même en pratiquant un art martial ».

Mais pourquoi ce nom ?
Eh bien c’est assez simple : je suis convaincu qu’un professeur est là pour mettre ses élèves sur la voie, mais que c’est à l’élève lui-même de s’investir et de vouloir progresser. L’enseignant est là pour accompagner l’élève dans son autonomie, et c’est là mon but. J’ai donc trouvé que le terme « Jisei Budo Kai » était approprié à ma vision des choses.

Que représente le logo ?

Le logo symbolise une tsuba, la garde du sabre japonais, pièce ronde entre le manche et la lame qui protège les mains. Le cercle extérieur est le motif ensō, symbole zen de vacuité et d’achèvement, liant l’esprit au geste corporel. Dans le cercle intérieur, on peut reconnaître le nakago-ana, l’interstice par lequel passe la lame pour être fixée à la tsuka (le manche du sabre).

Les kanji représentent tout simplement le nom « Jisei Budo Kai ».

 

 

Nouveautés, dès ce 7 septembre

 
Cette année a été une année particulière pour beaucoup de monde et restera encore compliquée pour certains. Pourtant je ne peux qu’encourager à pratiquer une discipline martiale au vu de tous les bienfaits que cela a sur le corps et l’esprit. Pour cette nouvelle saison, j’ai quand même tenté le tout pour le tout en développant l’association à son plein potentiel. En effet, en plus de l’aïkido Kishinkaï, cette année des cours supplémentaires verront le jour. Jérémie Piscicelli se joint à moi pour porter ce projet et gérer l’asbl ensemble.

Comment s’inscrire ?

Au moyen du formulaire d’inscription qui se trouve ici 👉🏻Formulaire d’inscription👈🏻.

Les infos pratiques sont accessibles en haut du formulaire et sur le site www.kishinkan.be

Aïkido Kishinkaï
Au même titre que la naissance de mes enfants, faire partie de la famille du Kishinkai et pouvoir l’enseigner est ma plus grande fierté. L’enseignement de l’aïkido Kishinkaï restera mon activité principale avec l’organisation de divers stages donnés par mes maîtres et par moi-même.

(Adrien Crovato et Arnaud Lejeune au palais d’Himeji (photo de Fabian Samidjono))

 

Judo
Le sensei Jérémie Piscicelli dispensera des cours de judo pour adultes et enfants. Malgré son look original à tendance kawaii, c’est un judoka hors pair et un technicien fantastique, sans compter que son approche pédagogique est sans pareille.

(Jeremie Piscicelli et Dimitri Closset lors de la NAMT Liège (photo de Yanick Rogister))

 

Samurai Junior
Après plusieurs questionnements sur l’approche pédagogique, j’ai décidé d’appeler les cours enfants « Samurai junior ».
À l’origine, un samurai devait maîtriser plusieurs disciplines martiales. Comme un enfant a besoin de diversité, et afin de faciliter un choix de pratique martiale lors de son passage à l’âge adulte, j’enseignerai divers arts martiaux dans les cours enfants, tels que l’aïkido, le karaté, le kenjutsu, et Jérémie s’occupera de la partie judo.

(une petite partie des samurais du kishinkan)

 

Karaté Shotokai
Je retourne aussi quelques années en arrière avec un cours de karaté par semaine, dispensé par moi-même. Cela permettra aux pratiquants d’approcher une autre discipline pour élargir leur éventail technique, de travailler de bonnes attaques et d’améliorer la condition physique.

Tanren
L’aïki taïso tanren est une méthode de « déconditionnement » physique, elle offre la possibilité de redécouvrir et d’affiner sa capacité à se mouvoir librement. Elle actualise et améliore les capacités physiques générales (force, endurance, résistance, souplesse, fluidité, relâchement). Elle développe la conscience du corps, le relâchement dans la contrainte et l’effort juste. Elle permet de rééquilibrer les tensions corporelles et la posture. Cette méthode intensive se travaille essentiellement avec le poids du corps. Elle constitue une excellente préparation pour le sport en général et pour les arts martiaux en particulier. C’est aussi une excellente activité complémentaire à toute pratique physique intensive. Cette pratique fera office d’échauffement lors des cours d’aïkido, de judo et de karaté.

(Tanguy Le Vourch)

 

Stages
Des stages seront organisés régulièrement en aïkido et en judo, d’autres seront organisés avec des enseignants extérieurs d’autres disciplines (MMA, Yoseikan budo, karaté…).

                        Sensei Léo Tamaki au kishinkan

Stages durant les vacances scolaires
Durant les vacances scolaires, des stages pour enfants seront organisés avec divers ateliers en relation avec la culture japonaise (arts martiaux, shiatsu, cuisine, excursions…).

 

 

Anniversaires
Cette année, tu auras l’occasion de fêter ton anniversaire au dojo. 1 heure de cours avec tes amis suivie d’un bon gâteau et du plaisir de découper une piñata au bokken (sabre en bois), avec quelques photos souvenirs.

 

 

Cours privés
Des cours privés peuvent être organisés sur demande.

Pauline Jeanne et Arnaud Lejeune à Miyajima (Photo de Laurent Sikidji)

Au plaisir de vous revoir tous sur le tatami !

 

Arnaud